Résumé :
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« Occulter totalement l'œuvre de certains personnages ou en travestir le parcours, comme l'ont fait depuis 1962 nos manuels scolaires, magnifier régulièrement d'autres au mépris de la vérité(...) ne contribue guère à éduquer notre jeunesse dans le respect de son passé, mais plutôt à oblitérer, on ne doit aux morts que la vérité. Pour le meilleur et pour le moins bon, Messali appartient à notre histoire nationale ». « L'histoire ne constitue en aucun cas un tribunal mais un lieu de débats à prétentions critiques. Ce qui suppose que chacun ait droit à l'expression, les absents, les exclus, les disparus, autant que tout autre, même si la tâche en devient forcément plus ardue et nous confronte à des problèmes de méthode »
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